Depuis septembre dernier, Zach Newburgh a abusé de son pouvoir de président de l’Association étudiante de l’Université McGill (AÉUM), et ceci n’a enfin été réfréné que tôt vendredi matin par une motion de censure. Mais ce n’est pas assez.
Pendant les cinq derniers mois, Zach Newburgh a entamé et a soutenu un partenariat avec l’entreprise naissante de réseautage Jobbook, au nom de l’AÉUM, sans le consentement ni même la connaissance des autres membres élus ni du Conseil législatif. [Cliquez ici pour les détails à ce sujet et les conséquences sur les conseils exécutif et législatif]. Les intentions du président étaient peut être louables, agissait-il pour le bien-être et le futur des étudiants et de l’université, et non pour lui, mais ses actions ne le confirment pas et, en fait, semblent plutôt l’accabler. Car, si le projet était si prometteur, pourquoi ne pas en avoir avisé le reste de l’Association, le Conseil, et même avoir sondé les étudiants ?
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Ce dernier événement est la goutte d’eau qui a fait déborder le vase, l’assemblée générale ayant failli être abolie, et ne fait preuve que de l’autonomie excessive de Zach Newburgh et du peu d’intérêt qu’il porte à la confiance des étudiants qui l’ont élu au poste de président.
S’il n’existe plus de tribune physique pour discuter et débattre, s’il n’est plus possible de croire que nos élus ont notre bien-être à cœur, où pourront se faire entendre les étudiants ? Réagissez. Écrivez à Zach Newburgh. Écrivez aux membres du Conseil. Faites connaître votre mécontentement et entendre votre voix.