Contemplez d’un survol les lèvres alcooliques
Aux ardeurs de vos fleurissantes nostalgies
Dans l’aube cossue qui hurle en hémorragie
L’absurde heurt de mon être neurasthénique
Un rayon d’ombre est atmosphère bordélique
Des pas lourds au piano chantent les tabagies
Mon regard orphelin muet interagit
Par les vierges chemins des forêts bucoliques
Mouillez le front ridé d’une tendresse à boire
Que je trouve des sommeils irréels la gloire
Cet espace infini de voyage en mon âme
Ô rédempteurs et extatiques masochistes
Sur la funèbre barque j’écarte les flammes
Au fouet musclé de ma jouissance catéchiste.