Démission
Le vice-président aux événements de l’Association Étudiante de la Faculté des Arts de l’Université McGill, Josh Greenberg, a démissionné de son poste. Greenberg cite des « raisons personnelles » pour son départ de l’exécutif de l’AÉFA. Devon LaBuik, président de l’AÉFA, affirme au Délit que le conseil de l’Association se penchera sur son remplacement. « On peut choisir parmi les conseillers ou déclencher une élection partielle », explique-t-il.
LaBuik pense que la première option sera la plus probable d’être choisie avec l’arrivée de la fin de session et les examens finaux rentrant en conflit avec la tenue d’une élection.Selon l’AÉFA, le portfolio du vice-président des événements ne présente aucune anomalie. « Le Frosh a présenté un surplus de quelques milliers de dollars », affirme LaBuik. Le budget de l’Association sera rendu public d’ici la fin novembre.
Référendum
La période de vote pour le référendum d’automne de l’AÉFA est commencée. Les étudiants de la Faculté des Arts ont jusqu’au jeudi 15 novembre pour se prononcer sur cinq questions. Ces questions concernent des amendements à la constitution de l’AÉFA ou au code électoral.
La première question propose d’ajouter à la constitution deux articles, afin de sanctionner les membres du Conseil qui sont trop souvent absents au conseil législatif.
L’AÉFA propose également que le Conseil législatif de l’AÉFA tienne des réunions au moins aux deux semaines, plutôt que deux fois par mois.
Un autre amendement a pour but de « permettre aux membres de comités de prendre la place de membres exécutifs absents ». L’AÉFA propose que, « dans le cas où l’un des postes de Vice-Président deviendrait vacant », le Conseil ou l’AG puisse élire un remplaçant « en accord avec les lois électorales, parmi ses membres ou parmi un comité permanent jusqu’à ce qu’une élection partielle, si jugée nécessaire, soit tenue ».
L’AÉFA souhaite aussi que les votes visant à amender la constitution passent par une simple majorité, plutôt que par une majorité de deux tiers.
Enfin L’AÉFA propose d’allonger la période référendaire : la période électorale pourra être tenue entre le 15 septembre et le 1er décembre (plutôt qu’entre le 1er octobre et le 15 novembre), ou entre le 15 janvier et le 1er avril.
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