Aller au contenu

Nash 74 tire à sa fin. Dès demain, après les plénières, 360 jeunes journalistes retourneront à leur mouton. Chacun de son côté, mais revigorés de leur cinq jours de conférence, tous entameront une nouvelle session d’investigations journalistiques.

Il y aura eu des conférences de toutes les sortes : des trucs pratiques pour écrire des textes d’opinions, des témoignages marquants de l’importance de la presse francophone en milieu minoritaire, des tas de conseils concernant le chemin à prendre pour atteindre ses rêves, mais, surtout, il y aura eu ce souffle d’énergie pour tous un chacun, exactement ce qu’il faut pour se convaincre que vivre pour ses idéaux est LA chose à faire quand on se lance dans l’écriture journalistique.

Mais pour l’instant, nous attendons les plénières pour décider de l’avenir de cette organisation canadienne des journaux étudiants. La plénière est le moment où les grandes questions sont débattues. La place du français au sein de l’organisation sera nécessairement à l’ordre du jour. Et le sujet est chaud. Très chaud. Ce qui se trame : il y aura une remise en question du bilinguisme de la Canadian University Press.

Les présidents et les chefs de pupitre nationaux qui se présentent sont notamment unilingues. Ils ont beau nous convaincre que le bilinguisme est leur priorité, il n’y aura pas de cadeau pour les francos. La suite après la plénière.

 


Articles en lien