Les mémoires de mon année ici
sont festonnées brillamment
par un bouquet abondant.
Un bouquet,
Garni avec des fleurs de triomphes,
Et salé avec du crottin de calomnies.
Je n’ai pas de regrets,
Je n’ai pas d’alternatives.
Néanmoins,
J’ai mes mémoires,
Qui existent encore,
Qui me réjouissent, et que j’abhorre.
Qui sont servies comme des cours,
D’un vieux professeur,
Pour changer l’essence de mon séjour,
Pour conjurer les réalisations
d’un espoir,
Et pour exposer les prétentions d’un
étudiant et sa vaine gloire.