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V.-p. externes : les candidates

Brève.

Joanna Schacter

Si Joanna Schacter se présente comme une candidate qui manque d’expérience dans le monde de la politique étudiante, elle compte quelques années de pratique dans les journaux étudiants comme le Daily, le Tribune et le Harvard Independent. De plus, elle a participé à plusieurs actions bénévoles pour des associations locales.

Étudiante en Histoire, elle base son programme sur trois points : inclusion, bilinguisme, et partage d’information. En effet, elle considère qu’il est très important que McGill fortifie ses relations avec les autres établissements universitaires du Québec et du Canada. Elle précise aussi qu’elle soutiendra l’entrée de McGill dans une fédération étudiante, afin de faire front commun sur des sujets tels que l’austérité ou le désinvestissement des énergies fossiles. Mme Schacter mentionne par ailleurs qu’elle désire renforcer le bilinguisme sur le campus afin de faciliter l’accès à l’information aux étudiants anglophones et francophones.

Finalement, elle souhaite mettre en place des séances d’information avant tout référendum ou assemblée générale afin d’informer les étudiants sur leur contenu et leurs implications. 

Emily Boytinck

Impliquée au sein de Divest McGill, Emily Boytinck dispose aussi d’une longue expérience à la Science Undergraduate Society (SUS). Mme Boytinck présente elle aussi un programme en trois points : intégration de McGill dans la communauté montréalaise, une plus grande transparence dans les programmes et actions politiques sur le campus et une campagne pour la préservation de l’environnement. Son premier point est simple : « percer la bulle mcgilloise » et ouvrir ses étudiants aux actions bénévoles de la ville. À cette fin, elle annonce la création d’une base de données qui regroupera les opportunités que les étudiants pourront saisir afin d’aider leur communauté. 

Mme Boytinck s’engage ensuite à faciliter l’accès et la participation aux actions politiques présentes sur le campus au travers d’un site internet, entre autres. Finalement, elle promet d’augmenter la participation de l’université à des actions pour la préservation de l’environnement. Elle compte ainsi réunir les différentes associations étudiantes du Québec afin d’augmenter la pression qu’exerce déjà les universités sur le gouvernement. 


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