Le nouveau VP finance de l’AEFA, Mirza Ali Shakir, lors du premier conseil de l’association, s’est brièvement attardé sur l’historique financier de ses prédécesseurs. Voici ce qui en est ressorti. Beaucoup d’erreurs de comptabilités ont coûté très cher à l’AEFA dans un passé rapproché. Étonnement, de 2008 à 2012, l’AEFA n’a fait aucune déclaration d’impôt. En conséquence, le gouvernement leur a confisqué une somme de 120 000$ tandis que l’université leur enlevait le droit de charger les étudiants comme financement. Le tout résulta en une impossibilité de rembourser une dette de 40 000$. Il aura fallu attendre l’année 2012–2013 avant qu’une déclaration d’impôt soit finalement faite. Les 120 000$ ont donc été libéré ainsi que le droit de charger les étudiants ce qui s’est soldé par le remboursement de la dette et un surplus de 265 000$ pour l’année 2013 après le placement de la somme entre autre. Le VP finance rappelle qu’étant donné que l’AEFA est une association à but non-lucratif, un tel surplus n’est pas une bonne chose, mais presque autant à déplorer qu’une dette. Ceci dit, l’année 2015 s’annonce bien. Déjà, le ‘’Frosh’’ 2015 s’est soldé par un succès financier (tout le contraire de l’année dernière). La présente dette s’élève à 50 000$ et le compte de placement, celui de 2013, contient encore 190 000$. Le président a terminé sa présentation en insistant pour que les prochains VP finances soient choisi en s’assurant de leur compétence suffisante en finance et comptabilités.
Luce Engérant | Le Délit
Luce Engérant | Le Délit