Chronique politique à la dérive
Le 13 octobre, le Réseau socioprofessionnel en Science politique de l’UQAM organisait un « midi-causerie » sur le thème de la chronique politique et de sa place dans les médias.
Le 13 octobre, le Réseau socioprofessionnel en Science politique de l’UQAM organisait un « midi-causerie » sur le thème de la chronique politique et de sa place dans les médias.
« Un mouvement non violent, inclusif et bilingue », tel est décrit le mouvement Occupons Montréal qui s’est installé le 15 octobre au Square Victoria.
Il y a deux semaines, je pondais une chronique sur l’implosion du Parti Québécois, le manifeste peu convaincant du Nouveau Mouvement pour le Québec et l’éternelle dichotomie québécoise qui oppose les fédéralistes aux souverainistes.
Lorsque j’étais à l’école secondaire, crier haut et fort que l’on était fédéraliste menait à un suicide social.
Jack est parti. Le 22 août dernier, le Nouveau Parti Démocrate a perdu l’un de ses plus grands militants. Après avoir pleuré la mort d’un politicien respecté et aimé d’un bout à l’autre du pays, il est temps de penser à l’avenir : celui de la justice sociale et de la gauche canadienne d’un côté, mais aussi celui d’un parti qui n’a jamais connu d’aussi grande ascension que le 2 mai dernier.