Pop Montréal
Dans les prochains jours, la ville s’animera avec la présence de plusieurs dizaines d’artistes venus de partout pour l’amour de la musique.
Dans les prochains jours, la ville s’animera avec la présence de plusieurs dizaines d’artistes venus de partout pour l’amour de la musique.
Des rayons de livres couvrant la quasi-totalité des murs, un plancher qui craque sous le poids des étagères de bois et l’odeur rassurante des livres,… Lire la suite »Le Port de tête
Un père, un fils, un grand-père. Histoire d’hommes en colère.
L’Université McGill et l’AÉUM encourageraient les entreprises à contribuer au financement des activités étudiantes.
Été 2007, le Spectrum, l’une des salles mythiques de la métropole, fermait ses portes après avoir vu passer durant vingt-cinq ans les Leloup, Bélanger, Bashung… Lire la suite »Le Spectrum est mort, vive L’Astral !
Le célèbre journaliste était de passage à Montréal pour présenter son livre The Punishment of Gaza.
L’exposition L’oubli de l’air propose une réflexion sur les rapports entre l’œuvre et son public.
En ligne depuis quelques mois, on retrouve sur ce site toute l’information imaginable sur l’actualité musicale et sur quelque 1500 artisans faisant partie du milieu. Photos, extraits, vidéos et calendrier ; la page dédiée à chaque groupe ou artiste est on ne peut plus complète, bien qu’elle n’ait rien d’absolument novateur.
L’auteur-compositeur-interprète Moran, qui faisait paraître l’an dernier son second album, Mammifères, donne actuellement une série de spectacles que nous vous conseillons de ne pas manquer.… Lire la suite »Moran aime McGill
Après Maelstrom et Polytechnique, le réalisateur québécois Denis Villeneuve revient en force avec Incendies, l’adaptation cinématographique de la pièce de Wajdi Mouawad.
Écrite en 1945 par Beckett et retrouvée vingt-cinq ans plus tard par Jérôme Lindon qui a vraisemblablement poussé Beckett à la retravailler, Premier amour est une pièce difficile à résumer en quelques lignes. Un homme, assis seul sur un banc, raconte, après la mort de son père, l’histoire de son premier amour. À moins que ce ne soit l’histoire de l’Amour ?
Difficile de ne pas être nostalgique du temps où les mots étaient chargés d’une infinie portée, où ils n’étaient pas encore banalisés par le tourbillon technologique. Pourtant, il faut savoir vivre avec son temps. Et si je me sens parfois un peu anachronique, il faudra pourtant que je m’y fasse.
Comme le laisse entendre ce court extrait de la correspondance, la « Pâoline » et le « Gégé » ont vécu leur trente ans d’amour dans un grand écart : tendus entre la lettre et le lit, entre la « solitude à deux » et le quotidien partagé. Tous deux sont appelés au loin par leur carrière, mais, au fil des années, un même pacte les lie : pas de téléphone. Seule cette correspondance frénétique, parfois terrible, qui s’est étendue avec la même fougue de 1962 à 1993.