Les mots s’offrent en spectacle
Vendredi dernier s’ouvrait la dix-septième édition du Festival international de la littérature, une célébration annuelle où le plaisir de lire devient plaisir de voir et d’écouter.
Vendredi dernier s’ouvrait la dix-septième édition du Festival international de la littérature, une célébration annuelle où le plaisir de lire devient plaisir de voir et d’écouter.
Les Journées de la Culture 2011 auront lieu les 30 septembre, 1er et 2 octobre sour le signe de leur 15e anniversaire. Retour sur le lancement du 13 septembre dernier.
Entrevue avec Mylène Freeman, députée NPD d’Argenteuil-Papineau-Mirabel
Vivre en-dehors du campus n’a jamais été si excitant grâce à Off Campus Fellow.
De retour à Montréal sur les planches du Théâtre de Quat’sous, S’embrasent relate un coup de foudre bouleversant qui n’est toutefois pas transmis au public.
La BD pour l’édition du 20 septembre 2011.
Neige et Cendres, le film de Charles-Olivier Michaud, est un vibrant hommage aux journalistes de guerre indépendants qui rapportent l’information au péril de leur vie.
Jean Leclerc met en scène le monde oublié des fabriques de tabac cubaines habitées par la littérature.
Le réalisateur et scénariste Jean-Marc Vallée aborde l’union et la séparation dans Café de Flore, un drame d’amour ambitieux et atypique.
La danse contemporaine recèle de ces joyaux si aboutis, si entiers, qu’il nous viendrait l’envie de ne plus vouloir parler que ce langage-ci.
… mais il faut parfois emprunter pas mal de détours !
Le mot du jour nous est inspiré d’une entrevue avec Jacques Florent, responsable éditorial chez Larousse, parue dans le quotidien genevois Le Temps.
Vingt heures de vol. Provenance : l’île Maurice. À l’Est de Madagascar, le pays est un confetti dans l’océan Indien, une société créole postcoloniale complexe, fort éloignée du Vieux Continent et du Nouveau Monde.
Les temps sont durs pour ceux qui tiennent une chronique politique : il n’y a rien à se mettre sous la mine.
Lorsque j’étais à l’école secondaire, crier haut et fort que l’on était fédéraliste menait à un suicide social.