Bilingues à moitié
McGill, l’université reconnue internationalement, fait piètre figure quant à ses traductions vers le français.
McGill, l’université reconnue internationalement, fait piètre figure quant à ses traductions vers le français.
Servant bien davantage que des repas, l’Accueil Bonneau occupe une place importante dans le quotidien des itinérants montréalais.
Après un demi-siècle de guerre civile, le Sud-Soudan doit décider de son sort de manière démocratique via un référendum sur son indépendance. Serons-nous témoins de la naissance d’un nouveau pays ?
Les nouveaux arrivants suscitent l’intérêt, et les réfugiés de longue date passent aux oubliettes.
Jusqu’au 2 février à la Cinémathèque québécoise, une rétrospective bien ficelée pour redécouvrir l’œuvre du réalisateur du meilleur film de tous les temps… rien de moins.
Au Collège de Bois-de-Boulogne, des étudiants ont crié à l’atteinte à la liberté d’expression, et ils ont été écoutés… moyennant une certaine somme.
Avec sa plus récente pièce, Michel Marc Bouchard revisite ses obsessions : le deuil et l’amour entre hommes.
Pour la deuxième fois en trois ans, le plus haut responsable universitaire de l’Université Concordia tire sa révérence pour des raisons personnelles.
Le 6 décembre, ceux qui tirent les ficelles ont osé le dire : « Le gouvernement a fait sa part, les entreprises ont fait leur part, maintenant c’est aux étudiants de faire leur part. »
Avec des images envoûtantes et des prises de vue à couper le souffle, Hiroshi Teshigahara illustre dans le film Antonio Gaudí la singularité de l’œuvre de l’architecte catalan.
Sylvain Lemay et André St-Georges explorent les illusions et désillusions d’un groupe d’amis face à leurs idéaux de jeunesse dans Pour en finir avec novembre.
Dans Justine, la bédéiste québécoise Iris invente un univers loufoque et réaliste.
Dans l’excellent premier tome de Vogue la valise, Siris explore avec originalité l’univers des services sociaux qu’il a lui-même connu dans sa jeunesse.
La bande-dessinée du 11 janvier 2011 :
Réchauffez-vous à la Maison de la culture Frontenac qui expose La Peau de l’Ours.