Félix-Antoine Marcoux - Crédits visuels

Il s’est levé avec le bruit de la foule alors qu’il attendait le son habituel de son réveille-matin.

Il traverse Bay Street vers son bureau, avec le même déjeuner qu’il mange chaque jour.

Le son de la pluie qui tombait et les piécettes qui étaient dans sa poche ne pouvaient pas assourdir le bruit des voitures qui passaient dans la rue devant lui. 

Je me souviens quand tu avais sept ans –mon fils tu étais trop mignon.

La chaleur de l’été à Montréal associée à ma frustration de ne pas avoir d’emploi me font me sentir vaincue

J’ai enfin la chance de t’écrire.

C’est très difficile de dire au revoir.

Les mois passaient lentement et elle laissait sa vie défiler sans donner de signes d’espoir.

Dans une résidence de l’Université McGill, une jeune fille, tout en blanc était dans sa chambre sombre.

Une vie indésirable ?

​Les feuilles se développent, rougissent et tombent. 

Je commence maintenant à comprendre cette ville, même si j’ai encore peur de marcher dans la rue.