S’embraser sans fumée
De retour à Montréal sur les planches du Théâtre de Quat’sous, S’embrasent relate un coup de foudre bouleversant qui n’est toutefois pas transmis au public.
De retour à Montréal sur les planches du Théâtre de Quat’sous, S’embrasent relate un coup de foudre bouleversant qui n’est toutefois pas transmis au public.
La BD pour l’édition du 20 septembre 2011.
Neige et Cendres, le film de Charles-Olivier Michaud, est un vibrant hommage aux journalistes de guerre indépendants qui rapportent l’information au péril de leur vie.
Jean Leclerc met en scène le monde oublié des fabriques de tabac cubaines habitées par la littérature.
Le réalisateur et scénariste Jean-Marc Vallée aborde l’union et la séparation dans Café de Flore, un drame d’amour ambitieux et atypique.
La danse contemporaine recèle de ces joyaux si aboutis, si entiers, qu’il nous viendrait l’envie de ne plus vouloir parler que ce langage-ci.
… mais il faut parfois emprunter pas mal de détours !
Le mot du jour nous est inspiré d’une entrevue avec Jacques Florent, responsable éditorial chez Larousse, parue dans le quotidien genevois Le Temps.
Vingt heures de vol. Provenance : l’île Maurice. À l’Est de Madagascar, le pays est un confetti dans l’océan Indien, une société créole postcoloniale complexe, fort éloignée du Vieux Continent et du Nouveau Monde.
Les temps sont durs pour ceux qui tiennent une chronique politique : il n’y a rien à se mettre sous la mine.
Lorsque j’étais à l’école secondaire, crier haut et fort que l’on était fédéraliste menait à un suicide social.
Soit un recueil de nouvelles collectif portant le titre suivant : Amour et libertinage, par les trentenaires d’aujourd’hui. Ma curiosité est piquée.
Les Boumeries, le premier fanzine de Samantha Leriche-Gionet, alias Boum, nous fait découvrir une jeune réalisatrice, animatrice et illustratrice québécoise pleine de talent…
et autres histoires
…car, « le temps est la seule chose que l’on ne peut avoir en quantité suffisante ; profitez-en ! »