Le début de la fin
Les choses qui se terminent nous renvoient très souvent à leur commencement. Ceux qui passent ces jours-ci leur final final repensent à leur premier cours à… Lire la suite »Le début de la fin
Les choses qui se terminent nous renvoient très souvent à leur commencement. Ceux qui passent ces jours-ci leur final final repensent à leur premier cours à… Lire la suite »Le début de la fin
Comment inaugure-t-on une dernière chronique ? Je suis fatigué et les muses m’ont abandonné. J’ai bien cherché conseil auprès de ma colocataire, mais elle m’a simplement… Lire la suite »Chambouler
Avec le souci de mieux servir les intérêts de son lectorat, Le Délit proposait la semaine dernière un sondage permettant à ses lecteurs assidus ou occasionnels d’exprimer leur opinion sur la publication. Lors du traditionnel Délit-party, le conseil de rédaction a accepté de se prêter au même exercice. Soucieux de donner une voix aux marginaux, Le Délit publie ici les réponses de son lecteur collectif le plus fidèle.
Des vers de terre ? Non, des Eisenia foetida, aussi connus sous le nom de vers rouges de fumier. Ce sont de petits organismes qui pourraient… Lire la suite »Vers et compostage
« On en a d’la chance, hein ?» Il n’y a pas bien longtemps, j’étais avec deux Belges et une Française. Nous étions tout écrasés et entassés… Lire la suite »Mon auberge suédoise
Les membres de l’Association des professeurs à temps partiel de l’Université Concordia (APTPUC) ont poursuivi hier et aujourd’hui leur grève rotative, lancée la semaine dernière.
Le recours à l’intimidation judiciaire de la part de l’administration et la crainte de perdre une session ont dissous les lignes de piquetage des étudiants.
Le lundi 31 mars dernier avait lieu au bistro Vices et Versa le lancement de Plusieurs excuses, recueil de nouvelles signé Stéphane Ranger et dernier-né des Éditions de Ta Mère. Le Délit a rencontré le jeune auteur, dont c’est la première publication, entre deux séances de signature.
L’individu, la culture et l’étranger en Suède.
Caramel, un film d’origine libanaise qui a su attirer l’attention au dernier Festival de Cannes, arrive enfin sur nos écrans.
Les divisions au sein de la communauté algonquine du lac Barrière sont le symptôme colonial du refus du gouvernement fédéral d’assurer la gestion conjointe du territoire.
Lors de la précédente parution du Délit, l’équipe de rédaction était si absorbée par le numéro spécial Asie qu’elle n’a guère commenté l’issue du vote… Lire la suite »Ma langue a mal à l’AÉUM
Difficile d’imaginer un quotidien où la notion d’identité ne serait pas omniprésente. Avec le titre de transport de la STM, la carte étudiante, sans compter les innombrables permis et identificateurs que chacun trimballe, les traces identitaires paraissent indispensables pour huiler la mécanique sociale. Pourtant, nombreux sont ceux qui, refusant la signature ou se voilant dans l’anonymat, s’amusent à bloquer cet engrenage et à créer de nouvelles formes d’expression artistiques et politiques. Excursion aux origines et tactiques de ces Spartacus des temps modernes.