Le corps a ses raisons
FAR, la nouvelle chorégraphie de Wayne McGregor, explore les interactions entre le corps et l’esprit.
FAR, la nouvelle chorégraphie de Wayne McGregor, explore les interactions entre le corps et l’esprit.
Retour sur les Rencontres internationales du documentaire de Montréal.
Work in Progress, un récit déroutant présenté aux Rencontres internationales du documentaire de Montréal.
Trou Story dresse un portrait peu flatteur de l’industrie minière.
Dans Chaque jour la plume de Fanny Britt révèle la violence qu’un couple s’inflige pour combler l’ennui.
Ce samedi, la formation montréalaise Monogrenade jouait unplugged pour la toute première fois. Une très belle initiative de l’étiquette Bonsound que d’offrir ces spectacles sur la terrasse d’Ubisoft au cœur du Mile-End avec une vue imprenable sur le Mont-Royal.
Aujourd’hui, le mécontentement et les revendications s’expriment sur la toile.
Le refus de la hausse des frais de scolarité, version 2.0.
Lorraine Pintal offre une performance remarquable dans Madame Louis 14.
En organisant un événement où Stephen Harper joue au piano et chante Imagine de John Lennon avec Maria Aragon, une jeune fille d’origine philippine qui doit sa notoriété à son interprétation de Born This Way de Lady Gaga sur YouTube, les stratèges conservateurs ont sans doute voulu projeter l’image d’un Canada cultivé, harmonieux et connecté.
Le Délit s’est entretenu par courriel avec Patrick Sabourin, l’un des trois auteurs de l’Enquête sur les comportements linguistiques des étudiants du collégial sur l’île de Montréal.
« The Library – by Rupert Common » fait le portrait réaliste et divertissant de la vie étudiante à McGill. Entrevue avec le monteur, Jonathan Glancy.
Puisque le prochain et dernier numéro du Délit sera un cahier spécial Création, je voulais aujourd’hui vous rappeler les enjeux importants sur lesquels il faudra garder un œil.
Le Délit s’est entretenu par courriel avec Mariève Isabel, la nouvelle VP affaires externes de la PGSS pour l’année 2011–2012
Co-auteur et co-metteur en scène de Ronfard nu devant son miroir et co-directeur artistique du NTE
Une « fantasmagorie paranoïaque et poétique ». À ces mots, on peut hésiter à vouloir assister à la représentation de cette pièce contemporaine qui semble vouloir vider notre langue de son sens pour exposer le vide de nos vies modernes.