Citoyens d’abord
Plusieurs conférences et tables rondes étaient données à McGill dans le cadre de la Semaine du journalisme étudiant la semaine dernière. Notamment, Tim McSorley et… Lire la suite »Citoyens d’abord
Plusieurs conférences et tables rondes étaient données à McGill dans le cadre de la Semaine du journalisme étudiant la semaine dernière. Notamment, Tim McSorley et… Lire la suite »Citoyens d’abord
Avec la pièce tragicomique Délire à deux, le Théâtre de la Marine Britannique marque un départ impressionnant. Un couple s’enferme dans une maison située entre… Lire la suite »Exclu Web : [Mal]contents
Vous êtes-vous amusés cette fin de semaine d’Halloween ? De mon côté, après une courte soirée costumée sous le thème des clowns où le scotch a… Lire la suite »Frontenac contre Goliath
Montréal regorge de petits lieux de diffusion où il est possible de découvrir de vraies perles culturelles. Toutefois, la recherche peut s’avérer être une réelle… Lire la suite »Le Théâtre de l’Esquisse
Cette fin de semaine, Le Délit a retrouvé les journaux étudiants Le Collectif (Université de Sherbrooke) et Impact Campus (Université Laval) à Québec dans le… Lire la suite »Super-héros 2.0
Nous ne sommes pas sortis du bois de la loi 103. Surtout depuis que celle-ci a subi une scission : le projet de loi 115 déposé… Lire la suite »Le divorce de la politique avec l’identité québécoise
Les différents visages d’une identité sont mis en scène par le chorégraphe et interprète Stamos et sa compagne de longue date, Luciane Pinto, dans Cloak. La démarche se développe autour de l’image du lapin, d’abord suggérée par un texte que lit Stamos au début du spectacle. Puis, le duo jongle avec les diverses connotations et images conçues autour de cet animal. Notamment, l’enfance est traduite entre autres par une vidéo de Bugs Bunny. Pour l’âge adulte, Stamos et Pinto, vêtus d’un ensemble tout noir, portent des masques noirs sans yeux, avec des oreilles de lapin, et une poitrine démesurée. Lire la suite »EXCLU WEB : L’hybridité du moi
Il y a de ces films qui vous marquent non par une aventure rocambolesque ou une esthétique novatrice, mais par une sincérité qui ne manque… Lire la suite »La tête en friche
L’ambiance d’un café bistro de Paris, nouvelle capitale de l’avant-garde artistique, quelques années avant la Seconde Guerre mondiale prend enfin les planches du Théâtre de Quat’sous avec Opium_37.
La quatorzième édition des Journées de la culture, une initiative de Culture pour tous qui a pour mission de démocratiser la culture au Québec en… Lire la suite »Culture qui féconde, enrichit l’esprit.
Comme on dit « L’habit ne fait pas le moine » ou « Il ne faut pas juger un livre par sa couverture », l’Université McGill au premier rang ou au dernier rang, c’est devant ses étudiants qu’elle devrait vouloir s’afficher sous son meilleur jour, et non dans les palmarès. Mais pour ça, il faut peut-être lui rappeler qu’une université est composée d’étudiants et non de trophées et de médailles.
Le Théâtre PàP reprend Abraham Lincoln va au théâtre, une tragicomédie qui expose le portrait décapant d’une Amérique psychotique.
Non seulement la fermeture s’explique-t-elle mal financièrement (on aime à le rappeler, puisque c’est la raison principale que donne l’administration), mais elle s’inscrit surtout dans une propension que prend l’administration à brider les initiatives étudiantes.
Dans le cadre du 10e anniversaire du Théâtre Péril, le directeur artistique Christian Lapointe renoue avec ses premières inspirations dans sa surprenante mise en scène de Limbes présentée au théâtre La Chapelle.
Si vous avez fréquenté les cafés et les commerces du ghetto et du plateau dans les derniers mois, vous avez peut-être remarqué les nombreuses affiches qui annoncent la tenue de « Cabarets jovialistes ». Intrigué, Le Délit a cherché à faire la lumière sur le mouvement jovialiste dans une discussion avec son surprenant fondateur, André Moreau.