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Philippe Teisceira-Lessard - Crédits visuels

Une symbiose à portée de main

    « Car, comme la terre fait éclore son germe, et comme un jardin fait pousser ses semences », Emily Rose Michaud inspire une rencontre entre la ville et la nature par son projet du Jardin Roerich. 

    Le Front d’action stupide publie enfin ses annales !

      Certains habitués de la blogosphère auront peut-être remarqué l’existence de ce groupe de créateurs québécois, gagnant du prix du meilleur fanzine 2007 lors d’Expozine, le Salon des fanzines, bandes dessinés et petits éditeurs de Montréal. Plusieurs pourraient hausser le sourcil devant un collectif dont le nom commence par « front ». Pourtant, ici, l’intention est bien claire : parfois critique, parfois délirante, toujours ludique, l’œuvre collective se veut un palliatif à la banalité du quotidien. Entrevue avec l’un des premiers « fasciens » à l’occasion de la sortie du troisième recueil du collectif.

      Rencontre avec Bassem Eid

        Le journaliste activiste palestinien, en visite à la Faculté de droit, parle de son travail et des obstacles au respect des droits de l’homme au Proche-Orient.

          Où s’en va Dieu

            Le Délit a rencontré Marc Angenot, professeur titulaire de la Chaire James McGill d’études du discours social, afin de parler de son dernier livre En quoi sommes-nous encore pieux ? et de discuter de la place de Dieu dans le quotidien actuel occidental. Bref résumé d’une conversation qui aurait pu durer des heures.

            Dieu est à vendre

              Depuis maintenant presque vingt ans, l’agence de publicité montréalaise Bos signe la campagne annuelle de l’Archevêché de Montréal. Un regard sur la mise en marché de Dieu, dans une socité dominée par les médias et où l’on oublie souvent de se souvenir.

              Profession de foi

                Le Délit a rencontré le père Jean-Guy Vincent, vice-recteur à la pastorale à l’Oratoire Saint-Joseph.

                Vivre dans une église

                  Depuis les années 1990, la privatisation du patrimoine religieux est devenue une tendance à Montréal et au Québec. Si elle est critiquée par bien des organismes, elle est souvent le moyen le plus viable de récupérer des structures abandonnées.