Pour saluer Jutra
Jusqu’au 2 février à la Cinémathèque québécoise, une rétrospective bien ficelée pour redécouvrir l’œuvre du réalisateur du meilleur film de tous les temps… rien de moins.
Jusqu’au 2 février à la Cinémathèque québécoise, une rétrospective bien ficelée pour redécouvrir l’œuvre du réalisateur du meilleur film de tous les temps… rien de moins.
Dans un numéro de L’Inconvénient intitulé « Tolstoï ou Dostoïevski », un des collaborateurs prenait parti pour l’auteur de Guerre et paix et d’Anna Karénine en faisant… Lire la suite »La corde raide
« L’effacement soit ma façon de resplendir », écrivait Philippe Jaccottet dans ses carnets au début des années soixante. Il entendait par cela que de réduire sa… Lire la suite »Leçons de lumière
L’autre jour, j’ai essayé de résumer le dernier livre de Vincent Tholomé, La Pologne & autres récits de l’Est, paru ce mois-ci au Quartanier. Voici… Lire la suite »Chronique d’une postmoderne indigne
Après une dizaine d’années de recherches et de documentation, Louis Hamelin fait enfin paraître La Constellation du lynx à temps pour le quarantième anniversaire d’Octobre… Lire la suite »Les yeux de lynx
Comme le laisse entendre ce court extrait de la correspondance, la « Pâoline » et le « Gégé » ont vécu leur trente ans d’amour dans un grand écart : tendus entre la lettre et le lit, entre la « solitude à deux » et le quotidien partagé. Tous deux sont appelés au loin par leur carrière, mais, au fil des années, un même pacte les lie : pas de téléphone. Seule cette correspondance frénétique, parfois terrible, qui s’est étendue avec la même fougue de 1962 à 1993.
Afin d’esquiver encore quelque peu la dure réalité de la rentrée, je vous propose de vous arrêter, le temps d’une chronique, dans ce monde en marge du monde qu’est le roman. Nous y escortent cette semaine Dominique Fortier et sa dernière œuvre, Les Larmes de saint Laurent, parue cet été aux éditions Alto.
Dans Les Troutman volants, Miriam Toews nous entraîne sur la route en compagnie d’une tante et de deux enfants peu conventionnels.
Nous étions jeunes encore de Gilles Archambault : un vingt-neuvième roman, une même voix intime qui résonne encore.
ÉPISODE 4
Résumé de l’épisode précédent :
Le jeune freshman aperçoit sa belle et mystèrieuse T.A. au détour d’un rayon de la bibliothèque McLennan. Voyant qu’il la suit silencieusement, elle l’agrippe et l’embrasse avec fougue. Nos deux amants sont interrompus lorsqu’elle sent qu’une présence familière les observe. Elle s’enfuit.
Avec un hommage au Festival international de littérature, une édition définitive de ses oeuvres complètes et un colloque universitaire entièrement dédié à sa pratique de romancière, cet automne sera celui de Gabrielle Roy.