L’oubli, la tentation et le voyeurisme
L’exposition L’oubli de l’air propose une réflexion sur les rapports entre l’œuvre et son public.
L’exposition L’oubli de l’air propose une réflexion sur les rapports entre l’œuvre et son public.
En ligne depuis quelques mois, on retrouve sur ce site toute l’information imaginable sur l’actualité musicale et sur quelque 1500 artisans faisant partie du milieu. Photos, extraits, vidéos et calendrier ; la page dédiée à chaque groupe ou artiste est on ne peut plus complète, bien qu’elle n’ait rien d’absolument novateur.
L’auteur-compositeur-interprète Moran, qui faisait paraître l’an dernier son second album, Mammifères, donne actuellement une série de spectacles que nous vous conseillons de ne pas manquer.… Lire la suite »Moran aime McGill
Après Maelstrom et Polytechnique, le réalisateur québécois Denis Villeneuve revient en force avec Incendies, l’adaptation cinématographique de la pièce de Wajdi Mouawad.
Écrite en 1945 par Beckett et retrouvée vingt-cinq ans plus tard par Jérôme Lindon qui a vraisemblablement poussé Beckett à la retravailler, Premier amour est une pièce difficile à résumer en quelques lignes. Un homme, assis seul sur un banc, raconte, après la mort de son père, l’histoire de son premier amour. À moins que ce ne soit l’histoire de l’Amour ?
Difficile de ne pas être nostalgique du temps où les mots étaient chargés d’une infinie portée, où ils n’étaient pas encore banalisés par le tourbillon technologique. Pourtant, il faut savoir vivre avec son temps. Et si je me sens parfois un peu anachronique, il faudra pourtant que je m’y fasse.
Avec son look bohème, ses airs de pianos nostalgiques et ses tubes électrisants, Alex Nevsky suscite un enthousiasme qui ne démord pas en cettte rentrée culturelle. Rencontre avec un passionné des mots qui conjugue à un côté fleur bleue tout le charme d’une poésie sombre.
Meat the truth ou comment cerner l’impact de l’élevage de bétails sur le climat pendant les soixante-quatorze minutes d’un documentaire plutôt bien ficelé.
Random Recipe, c’est l’union improbable de quatre personnes –Frannie, Fab, Liu-Kong et Vincent– qui ne semblent avoir véritablement qu’une chose en commun : la volonté de faire de la musique, à leur manière, et d’avoir le plus de plaisir possible en cours de route.
Le surréalisme contemporain s’installe dans le deuxième sous-sol du Musée des Beaux-arts de Montréal. L’exposition La terre est bleue comme une orange nous présente les récents ajouts du Musée à sa collection permanente.
L’édition 2010 du World Press Photo investit l’espace du Musée Juste pour rire. L’exposition offre une revue de l’année des plus percutantes photographies de presse, sélectionnées par un jury d’experts.
Le web documentaire entraîne son spectateur dans un espace de découvertes et de rencontres où l’interactivité est reine. Alors que l’Amérique du Nord tarde quelque peu à adopter la formule, ARTE, Le Monde et d’autres organismes européens l’exploitent avec grand succès.
Dans son numéro du mois de septembre, le magazine Playboy publiait quelques pages d’une traduction du classique de Flaubert, « roman le plus scandaleux de tous les temps », si l’on en croit le titre en couverture.
Belliard s’inscrit dans une lignée d’auteurs-compositeurs-interprètes qui ont la cote en ce moment (Le Husky, David Marin, Yann Perreau…) et qui choisissent d’investir seuls l’espace créatif entre eux et leur public.
Loin de nous l’idée de relancer cette semaine le sempiternel débat sur l’intérêt du support électronique face au bon vieux papier (n’est-ce pas là, d’ailleurs, qu’une simple question de préférence?), mais bien des questions peuvent toutefois être soulevées quant à l’influence de ce virage sur la vitalité de l’édition québécoise. Les attentes des éditeurs par rapport à cette entreprise de numérisation sont-elles réalistes, voires justifiées ? Rien n’est moins sûr.