En Aston Martin nous mourrons
Le 28 septembre 1962, sur l’autoroute de l’Ouest, sur le pont de la Celle-Saint-Cloud, une Aston Martin DB4 lancée à pleine vitesse quitte la route.… Lire la suite »En Aston Martin nous mourrons
Le 28 septembre 1962, sur l’autoroute de l’Ouest, sur le pont de la Celle-Saint-Cloud, une Aston Martin DB4 lancée à pleine vitesse quitte la route.… Lire la suite »En Aston Martin nous mourrons
« Je ne suis pas interessé par le passé. Je me porte vers le futur car je compte y passer le restant de mes jours », disait… Lire la suite »Le retour du papy prodigieux
Récemment, on a tousvu dans un cadre de publicité sur un quelconque site Internet qu’un docteur avait dévoilé le secret qui nous permettrait d’apprendre n’importe… Lire la suite »Pimsleur Approach
Un film qui prouve qu’on essaie encore de retrouver le temps.
Nous assistons présentement à une vague de violence provoquée par le film L’innocence des musulmans. Elle ne touche pas que le monde arabe. Des protestations… Lire la suite »Aux ténèbres, l’Amérique reconnaissante : Partie II
Coup de tonnerre dans les médias cette semaine : une étude française menée par le fameux et controversé Dr. Séralini établirait clairement l’existence de propriétés cancérigènes… Lire la suite »OGM : O Gros Maux, petits moyens
Et alors, il est où, cet automne chaud qu’on nous avait promis ?
Et si le Canada restait fidèle à lui-même ?
Laurent Kling sort son premier album solo à La Pastèque : Evan, Evans, une plongée poétique au cœur d’une existence banale. Âmes sensibles, lisez !
Votre mère vous a sûrement appris quand vous étiez jeunes qu’il y avait une façon de gagner au Monopoly.
L’exposition Neverland présente le quotidien épuré d’une Québécoise en Allemagne.
Des surfeurs se rencontrent chaque mercredi pour apprendre l’autre langue
Avez-vous déjà rencontré un imbécile heureux persuadé de détenir une expertise toute particulière par rapport à un certain domaine ?
Au pluriel ? N’y a‑t-il pas qu’une grammaire ? À vrai dire, non.
Des personnages qui ne sont pas à leur place, des solitaires qui ne savent pas communiquer avec le monde extérieur, des marginaux empreints de poésie qui se perdent dans une vie qui ne leur ressemble pas… c’est la rentrée.