Gérard Rancinan : laissez tomber vos masques !
Qui que vous soyez, vous ne sortirez pas indemne de votre rencontre visuelle avec l’œuvre de Gérard Rancinan !
Qui que vous soyez, vous ne sortirez pas indemne de votre rencontre visuelle avec l’œuvre de Gérard Rancinan !
Le Canada passe sous le bistouri cet automne, pour un lifting du faciès. Un lifting à rebours, en fait, puisque la Couronne britannique revient dans les bonnes grâces de l’imagerie canadienne.
Pour écrire sur une mascarade, Occupy Wall Street et toutes ses émulations à travers le monde (il y a même un Occupons Sherbrooke!) ne pouvaient pas mieux tomber.
Certains d’entre vous connaissent peut-être déjà le concept de couch surfing. Il s’agit non seulement d’une méthode d’hébergement très économique, mais aussi d’un excellent moyen de rencontrer les habitants de la ville que l’on visite et de s’immerger dans la culture d’un pays étranger.
Les citrouilles envahissent les marchés, squelettes et zombies s’étalent dans les vitrines, bonbons et autres gommes règnent partout. Halloween donne à la ville une nouvelle allure.
Tout le monde a déjà entendu ce mot : mascarade. Et vous l’avez lu de nombreuses fois dans ces pages cette semaine, alors que nous avons choisi d’en faire l’hommage dans ce numéro spécial. Mais qu’est-ce que c’est ?
La semaine dernière, la serveuse du restaurant dans lequel j’étais attablée m’a surprise à zieuter la table voisine. « Quelque chose d’intéressant par ici ? » me demande-t-elle en souriant.
Leçon sur le langage visuel de la BD japonaise.
Il y a du monde au portillon pour libérer le Québec de son joug trinitaire : corruption, chicane et cynisme. Tous y vont de leur manifeste pour une réforme institutionnelle qui saura purifier l’ordre politique et reconvertir la population.
Il y a deux semaines, je pondais une chronique sur l’implosion du Parti Québécois, le manifeste peu convaincant du Nouveau Mouvement pour le Québec et l’éternelle dichotomie québécoise qui oppose les fédéralistes aux souverainistes.
Mo rapel… Je me souviens, en créole mauricien. Je me souviens, entre autres, de la découverte, voici deux ans, du « fait français » à Montréal.
Vous avez déjà sûrement tous entendu des histoires de voyage en autostop qui ont mal tourné : temps d’attente interminable, radinerie du conducteur qui profite de la situation pour réduire le coup de son voyage en demandant de quoi payer les péages ou l’essence, voire même kidnapping pour quelques malchanceuses…
Cela fait quatre mois que la classe politique française souffre.
Depuis le 1er mai 2011, le salaire minimum au Québec est passé de 9,50 dollars à 9,65.
La vie est dure. Il faut se lever chaque matin, prendre le bus, le métro, le train ou marcher pour se rendre à l’université.