Des étudiant·e·s demandent à ce qu’on retire des œuvres contenant le « mot en n » du programme ; des professeur·e·s se plaignent de l’absence de soutien de la part de l’Université.
Photoreportage poétique sur l’art de rue montréalais.
Pot-pourri sur une asphyxiante bien-pensance de surface.
Des responsables de l’association étudiante prient l’administration de poser des limites à la liberté académique et d’encadrer les interventions des professeur·e·s dans les médias.
Analyse de l’absurdité d’un monde sans espoir dans l’œuvre Stalker d’Andreï Tarkovski.
Jouir de sa souffrance avec Dostoïevski et Nietzsche.
Plaidoyer pour une pédagogie du bon sens et de l’efficacité.
Une réponse à l’article « Quand “Speak white” resurgit en 2020 ».
Critique de la peur contemporaine de l’oubli.
Un retour sur l’ouvrage de Kim O’Bomsawin et de Joséphine Bacon.
L’administration mcgilloise fait le point sur l’avenir de l’ancien Hôpital Royal Victoria.
L’Université se dissocie fermement des propos de l’AÉUM, qui avait commenté les actions du gouvernement chinois dans l’ancienne colonie britannique.
Réflexions bachelardiennes sur l’imagination.
Sélection de poèmes pour conclure la première édition du concours.
L’Association des étudiant·e·s noir·e·s en droit de McGill effectue un retour sur la situation et dénonce l’utilisation de ce terme dans le milieu académique.
