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Société

L’exode des cerveaux : une épopée intelligente

    Environ 130 000 étudiants étrangers viennent fréquenter les établissements scolaires canadiens annuellement. Si la dualité de nos langues officielles et la qualité de l’éducation post-secondaire jouent un rôle dans leur décision de joindre nos rangs d‘école, le gouvernement se fait aussi un devoir de présenter le Canada sous ses meilleurs atours à l’étranger, entraînant de graves conséquences pour plusieurs pays en voie de développement. Le Délit s’est penché sur ce produit dérivé de la mondialisation.

    L’exode des cerveaux : une épopée intelligente

      Environ 130 000 étudiants étrangers viennent fréquenter les établissements scolaires canadiens annuellement. Si la dualité de nos langues officielles et la qualité de l’éducation post-secondaire jouent un rôle dans leur décision de joindre nos rangs d‘école, le gouvernement se fait aussi un devoir de présenter le Canada sous ses meilleurs atours à l’étranger, entraînant de graves conséquences pour plusieurs pays en voie de développement. Le Délit s’est penché sur ce produit dérivé de la mondialisation.

      Gonflés à bloc !

        Des sacs aux proportions démesurées, des bidons aux couleurs alléchantes ainsi que des fioles géantes trônent au centre d’une marée humaine. Il est midi, il fait 35° à l’ombre et la foule universitaire sait où se rendre : au magasin Liquid Nutrition.

        HALTE-LÀ !

          Que l’on aime ou pas le hockey, il faut se rendre à l’évidence : le Canadien est un phénomène social majeur au Québec. Il rend les gens heureux (et dépressifs). Il contribue à l’intégration des immigrants. Il unit les Francos aux Anglos. Il fait partie de nos vies.

          Le souffle de la jeunesse

            La jeunesse constitue-t-elle le moteur de la société ? Malgré leur peu d’expérience, les jeunes peuvent-ils contribuer à changer l’inchangeable ? Peuvent-ils faire de bons leaders ? Quel impact ont-ils sur le monde ?

            Faire des enfants ou non ?

              Les enfants, c’est l’avenir.
              Alors que la planète étouffe, les politiques natalistes se contredisent. Certains ont des enfants très jeunes, d’autres beaucoup plus tard. Pourquoi faisons-nous encore des enfants ? Égoïsme, altruisme ? Le Délit expose les discours de ceux qui préfèrent ne PAS avoir d’enfant et de ceux qui pensent d’abord aux ressources planétaires. Notre époque, plus No Baby No Cry ?