Aventure à la nuit blanche
Tu es un étudiant de McGill. Tu es en relâche une semaine avant tout le monde. C’est le soir du 1er mars 2008. Tu rêves de t’évader de l’hiver, de la slush et de la goutte qui te pend au bout du nez.
Tu es un étudiant de McGill. Tu es en relâche une semaine avant tout le monde. C’est le soir du 1er mars 2008. Tu rêves de t’évader de l’hiver, de la slush et de la goutte qui te pend au bout du nez.
L’image présentée par les grands médias —presse écrite, radio, télévision, et maintenant Internet— est devenue une référence sérieuse, une représentation du monde crédible. L’information journalistique montre et explique au public les faits qui constituent la réalité. Cependant, certains réussissent à jouer avec cette réalité et à véhiculer de fausses informations.
En cette semaine de la Saint-Valentin, le seul journal romantique de l’Université McGill fait son apparition.
N’écoutant que son courage —rappelons ici sa situation de journal francophone au sein d’une université anglophone, résidant d’un sous-sol de la rue McTavish, à l’ouest de la mythique frontière du boulevard St-Laurent—, Le Délit a choisi d’entrer dans le débat en proposant un travail constructif plutôt qu’une critique.
En décembre dernier, alors que Montréal recevait ses premiers flocons et que la frénésie de Noël s’emparait de la population, une fête d’une tout autre nature se préparait sous le chaud soleil nigérien : la Tabaski.
Avec la fonte de la banquise entre les îles du Nord canadien, le mythique passage du Nord-Ouest pourrait bien devenir une nouvelle route maritime. Julie Rousseau explore la souveraineté canadienne dans l’Arctique, d’un océan à l’autre.
Par un survol de l’industrie de l’eau embouteillée, Julie Rousseau se penche sur les enjeux géopolitiques reliés à la gestion de l’eau au Québec, une situation qui risque de faire des vagues.
Notre image de la Russie est souvent bien limitée : vodka, matriochki (les poupées traditionnelles), babouchka (la fameuse grand-mère), Poutine (le charismatique président au nom de notre célèbre combinaison frites – sauce brune – fromage en grains). Au-delà de ces lieux communs, la réalité russe, aussi riche que complexe, se décline en contradictions et en demi-tons. Mais pourquoi ce pays est-il si difficile à déchiffrer ?