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Société

Confit de Délit

    Avec le souci de mieux servir les intérêts de son lectorat, Le Délit proposait la semaine dernière un sondage permettant à ses lecteurs assidus ou occasionnels d’exprimer leur opinion sur la publication. Lors du traditionnel Délit-party, le conseil de rédaction a accepté de se prêter au même exercice. Soucieux de donner une voix aux marginaux, Le Délit publie ici les réponses de son lecteur collectif le plus fidèle.

    Sans titre

      Difficile d’imaginer un quotidien où la notion d’identité ne serait pas omniprésente. Avec le titre de transport de la STM, la carte étudiante, sans compter les innombrables permis et identificateurs que chacun trimballe, les traces identitaires paraissent indispensables pour huiler la mécanique sociale. Pourtant, nombreux sont ceux qui, refusant la signature ou se voilant dans l’anonymat, s’amusent à bloquer cet engrenage et à créer de nouvelles formes d’expression artistiques et politiques. Excursion aux origines et tactiques de ces Spartacus des temps modernes.

      Un innocent en Chine rouge

        Chine, juillet 1966. Le président Mao vient de lancer la Grande Révolution culturelle prolétarienne. Au même moment, à Montréal, J.-P. B. s’apprête à se lancer dans un périple qui changera sa vie. Alors âgé de 19 ans, il sera l’un des rares Occidentaux à visiter la « Chine rouge » à cette époque. Guillaume Dutil l’a invité à partager son carnet d’un voyage dans le temps. 

        Deux entrevues

          La Chine fascine. La Chine inquiète. La Chine s’éveille. La Chine nous achète. Au-delà des clichés, Le Délit a voulu savoir ce que pensaient deux jeunes qui y ont vécu récemment : Rei, en République populaire, et Claude, à Taiwan. 

          Sur la piste des consommateurs

            On vous connaît mieux que vous ne le croyez ! Cynthia Cloutier Marenger enquête sur la collecte de renseignements personnels à des fins commerciales. 

            Aventure à la nuit blanche

              Tu es un étudiant de McGill. Tu es en relâche une semaine avant tout le monde. C’est le soir du 1er mars 2008. Tu rêves de t’évader de l’hiver, de la slush et de la goutte qui te pend au bout du nez.

              Le pouvoir du simulacre

                L’image présentée par les grands médias —presse écrite, radio, télévision, et maintenant Internet— est devenue une référence sérieuse, une représentation du monde crédible. L’information journalistique montre et explique au public les faits qui constituent la réalité. Cependant, certains réussissent à jouer avec cette réalité et à véhiculer de fausses informations. 

                Le Délice

                  En cette semaine de la Saint-Valentin, le seul journal romantique de l’Université McGill fait son apparition.

                  Dictionnaire déliite illustré

                    N’écoutant que son courage —rappelons ici sa situation de journal francophone au sein d’une université anglophone, résidant d’un sous-sol de la rue McTavish, à l’ouest de la mythique frontière du boulevard St-Laurent—, Le Délit a choisi d’entrer dans le débat en proposant un travail constructif plutôt qu’une critique.

                    Tabaski !

                      En décembre dernier, alors que Montréal recevait ses premiers flocons et que la frénésie de Noël s’emparait de la population, une fête d’une tout autre nature se préparait sous le chaud soleil nigérien : la Tabaski.

                      Qui règne sur le Nord canadien ?

                        Avec la fonte de la banquise entre les îles du Nord canadien, le mythique passage du Nord-Ouest pourrait bien devenir une nouvelle route maritime. Julie Rousseau explore la souveraineté canadienne dans l’Arctique, d’un océan à l’autre.

                        Bouteille d’eau incognito

                          Par un survol de l’industrie de l’eau embouteillée, Julie Rousseau se penche sur les enjeux géopolitiques reliés à la gestion de l’eau au Québec, une situation qui risque de faire des vagues.

                          La Russie des possibilités

                            Notre image de la Russie est souvent bien limitée : vodka, matriochki (les poupées traditionnelles), babouchka (la fameuse grand-mère), Poutine (le charismatique président au nom de notre célèbre combinaison frites – sauce brune – fromage en grains). Au-delà de ces lieux communs, la réalité russe, aussi riche que complexe, se décline en contradictions et en demi-tons. Mais pourquoi ce pays est-il si difficile à déchiffrer ?